Brève n°11

 

Marché du tourisme : créer des produits adaptés sur la base d’un lexique de formes.

(Innovation sociale)


Le patrimoine, la culture, les paysages, le climat, etc. font l’identité d’un territoire et son attractivité touristique. De très nombreuses formes caractérisent cette identité. Rassemblées dans un lexique, cette source d’inspiration favorise la création de produits originaux marqués par leur origine territoriale plus adaptés aux attentes des touristes en terme d’objets souvenirs.

 

 

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Commentaires: 3
  • #1

    Pierre Jonquières (vendredi, 02 octobre 2015 18:40)

    Ça ne m'intéresse absolument pas. Je n'ai aucune envie de lithographier
    du Pont-d'Arc, des vignes, des oliviers, des champs de lavande et de fabriquer
    du sous-Brayere. Le machin-souvenir m'horripile et je me fous du touriste
    en tant que tel. C'est l'autochtone et assimilé qui m'intéresse parce qu'il est
    mon voisin et que je vis avec lui. Et il est certainement tout autant dégoûté
    que moi du symbolisme ardéchois convenu.
    Cela dit, bienvenue à l'humanité tout entière.

  • #2

    Claude (dimanche, 04 octobre 2015 19:22)

    Je suis entièrement d'accord avec toi Pierre et je pense que tu as l'assentiment générale sur ce type de pratique. De mon coté je ne vends pas à ce que l'on peut appeler le tourisme de passage. Les visiteurs prennent rendez-vous pour passer à l'atelier et c'est moi qui fait le touriste "professionnel", un peu le saltimbanque, pour aller vers les locaux sur d'autres territoires.
    Cependant, une fois que l'on dit ne pas vouloir fabriquer de la caricature et de l'image Épinal, nous n'avons encore pas considéré ce que signifie que de créer un lexique de formes. Je n'en ai pas fait le tour, mais il me semble que nous pourrions être grandement surpris par les résultats.
    Car en fait, quelle est l'identité de l'Ardèche et ce qui la représente ?
    Qu'est ce qui l'exprime à travers ce que nous connaissons sur ce territoire ? À travers les moments partagés et événements de toutes sortes, les objets dont nous héritons socialement et ceux que nous fabriquons, ce que véhicule la multitude des pratiques des différents réseaux ardéchois, les espoirs et désirs, les images mentales, etc. ?
    Je pense que faire le chemin de créer un lexique de forme peut être intéressant, que le résultat peut être enrichissant et prendre une certaine importance.
    Reste avant tout, à vouloir et décider de consacrer du temps à cela.
    C'est une autre histoire.

  • #3

    Claude (lundi, 05 octobre 2015 18:38)

    En fait, créer un tel lexique de formes c'est créer un bien commun.